Chronique

Il faut neutraliser la marche de l’islam en Europe

J’avoue que je ne connais pas bien la France. Je ne m’y suis rendu qu’une seule fois pour quelques jours. Je pense quand même que tout n’est pas fichu en France (et en Europe en général). Le peuple, le petit peuple n’a pas encore dit son mot. Il laisse les dirigeants politiques gérer toute cette pagaille islamique. Que la France, État de droit, renonce à son identité de pays démocratique et à ses valeurs serait une aubaine pour les islamistes car c’est justement ce qu’ils projettent faire de la France. Ils poussent fort pour que les dirigeants français fassent ce job à leur place. Il faut trouver des moyens légaux et humains pour neutraliser la marche de l’islam en Europe. Il s’agit de contrer les militants arabo-musulmans et les disqualifier, non les éliminer ou les déporter en masse.

Rappelez-vous de ce qu’ont fait les USA et le Canada immédiatement après l’attaque de Pearl Harbour. Ils ont ramassé tous ceux qui ont les yeux bridés (Chinois, Japonais, Vietnamiens, Coréens…) et les ont jetés dans des camps aux USA et au Canada. Il ne faut pas laisser s’enhardir la racaille jusqu’à commettre des crimes de masse comme en Algérie.

Si l’Europe ne fait rien maintenant pour combattre légalement et efficacement l’idéologie islamique, les autorités seront forcées plus tard, dans la panique, de s’en prendre à tout ce qui est basané, y compris les Kabyles. Ce sera justifié par le principe de précaution comme aux USA et au Canada.

Nous devons lutter contre le mahométisme tout de suite en Occident pour notre propre sécurité non seulement face aux islamistes, mais aussi face à une éventuelle réaction de panique de la part de nos gouvernements et de notre société d’accueil.

Il ne faut pas attendre qu’arrive la guérilla urbaine (car elle arrivera). Notre physionomie et celles de nos enfants nous obligera à devenir des clandestins car nous serons automatiquement classés dans « l’autre camp ». Je n’imagine pas mes enfants défendre leur vie aux cotés des musulmans, qui, eux, seront les agresseurs.

Arilès, 23 juillet 2013

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